À deux mois des élections européennes, le premier ministre de Hongrie, Viktor Orbán, apparaît comme le leader d’une Europe opposée à l’immigration et au fédéralisme européen. Simple représentant d’une droite autoritaire ou d’un véritable mouvement qui veut redonner sa place à une Europe centrale méprisée ? Le Devoir est allé prendre le pouls de ce petit pays. Premier texte de trois.
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